Et si on vous disait qu’on pouvait soigner le Covid 19 en 3 jours. C’est bel et bien possible et les recherches sont entrain d’être menées par l’institut de recherche et de développement des plantes médicinales et alimentaires de Guinée basé à Dubréka. Pour cela, l’institut a présenté deux protocoles d’essais cliniques axés sur des personnes symptomatiques et asymptomatiques.
Ces deux protocoles cliniques comparaissent certaines des plantes médicinales au traitement standard qui est utilisé dans les centres de prises en charge des cas de Covid 19 en particulier l’association hydroxychroloquine et asytromycine. Ils concernaient des patients qui avaient des symptômes et patients asymptomatiques. Les essais ont duré plus de 3 mois. Le premier protocole a porté sur 231 patients asymptomatiques donc des personnes positives sans symptômes, tous hospitalisés. Le second protocole concerne 30 malades présentant des symptômes mais tous hospitalisées nous a informé Mamadou Aliou BALDE Directeur Général institut de recherche et de développement des plantes médicinales et alimentaires de Guinée IRDPMAG
Certes les essais ne sont qu’à la phase 2 mais, les résultats s’annoncent satisfaisants au dire Pr Mohamed CISSE Coordonnateur des essais cliniques
« les résultats sont très encourageants parce qu’avec nos plantes médicinales qui ont été travaillé par l’institut des plantes médicinales de Dubréka ont permis dans la majorité des cas la sorite des patients dans les sites d’hospitalisations à 3 jours de leurs hospitalisations; et à 14 jours de l’hospitalisations presque la majorité des patients sont sortis . Il n’y a pas eu d’effets secondaires dans le cadre de l’utilisation de ses plantes. Il n’y a pas eu de décès, tous s’est bien déroulé. »
Ces recherches sont faites par des enseignants chercheurs guinéens et sont financées par le budget nationale .le Gouvernement rassure de poursuivre son engagement.
« Nous du côté du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, nous allons continuer à accompagner ces chercheurs jusqu’à la phase 3 pour la production de gélules à grandes échelle pour pouvoir sauvez le maximum de personnes.» promet Binko Mady TOURE secrétaire général du ministère de l’enseignement supérieur.
Med Barry