L’ancien président tunisien, Moncef Marzouki, a rejoint le nombre croissant de candidats à la recherche du poste de premier plan de la seule véritable démocratie du monde arabe le mois prochain.
Marzouki, qui a annoncé sa candidature à une station de radio locale mardi, est le dernier-né de plus de deux douzaines de prétendus candidats au vote du 15 septembre.
Le ministre de la Défense, Abdelkarim Zbidi, et le nabab des médias populistes, Nabil Karoui, figureraient au nombre des rivaux. Ennahda, le parti islamiste modéré tunisien, se demande si son premier candidat à la présidentielle sera au rendez-vous.